Union arabe de l’électricité: En quête d'équilibre entre énergies fossiles et énergies renouvelables

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Marrakech a abrité la 5e édition du Congrès de l’Union arabe de l’électricité (UAE) les 27 et 28 janvier.

Quelque 250 leaders des secteurs électriques de 22 pays arabes et pays invités d’Afrique et d’Europe étaient présents à cet événement organisé en partenariat avec l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE).

A l’issue de cette rencontre tenue sous le thème «Équilibres entre les énergies traditionnelles, nouvelles et renouvelables dans les mix énergétiques des systèmes électriques», des recommandations ont été adoptées. Objectif : dresser la feuille de route de l’UAE pour les années à venir.

A l’ouverture de ce congrès, le ministre de l’Energie, des mines, de l’eau et de l’environnement, Abdelkader Amara avait mis l’accent sur la nécessité de renforcer la coopération, déjà existante, entre les pays du monde arabe. «Notre volonté partagée de concrétiser et renforcer la coopération arabe dans des domaines vitaux, tels que l'électricité et les énergies renouvelables, ne pourra être matérialisée que s’il existe une détermination pour engager une véritable intégration arabe dynamique», avait-il dit.

Aissa Al Kuwari, président de l’UAE avait, lui, déclaré : «Notre priorité aujourd’hui est de réduire notre dépendance aux énergies fossiles et de favoriser des productions locales d’équipements afin de développer une expertise et un véritable savoir-faire».

Un objectif contenu dans les recommandations de ce 5e Congrès de l’UAE, qui a été également l’occasion pour une centaine d’entreprises de profiter d’un espace B2B et d’une plateforme de partage autour des stratégies énergétiques dans la région et le monde.

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