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- Publication : 18 octobre 2016
Londres: Là où le Maroc normalise sa vie politique, les pays du Moyen-Orient n’ont pas fini de sombrer.
L’écrivain libanais, Eyad Abu Shakra a indiqué que le Maroc est là pour rappeler que le monde arabe n’est pas que guerre, mort, drame et chaos.
Rédacteur en chef du journal saoudien, basé à Londres, Asharq Al Awsat, Eyad Abu Shakra a signé sur son journal, un éditorial dans lequel il a expliqué que le scrutin du 7 octobre dernier au Maroc, déroulé le plus normalement, dans un royaume où la différence est richesse et non un déchirement, permet de croire que l'espoir est toujours option possible dans le monde arabe.
L’écrivain libanais a clamé que grâce au Maroc, la culture de la vie peut encore illuminer alors que partout ailleurs dans le monde arabe c’est la course à la mort.
Eyad Abu Shakra a relevé qu’entre l'affliction d'Alep, le grave danger imminent menaçant Mossoul, le Liban accablé par une occupation tyrannique et le Yémen subissant une guerre meurtrière téléguidée par les perses et un Maroc qui renouvelle ses institutions par le biais d’un scrutin organisé le plus normalement du monde, dans la paix et la sécurité, c’est la différence entre la vie et la mort.
Le royaume, indique-t-il, est la preuve que la diversité intellectuelle et culturelle, alliée au respect comme valeur constitutive, sont l’essence des vraies nations.
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